a confirmé le coût plus élevé de l'enseignement secondaire français. Toutefois s'agissant de l'enseignement professionnel, il a expliqué que le coût était structurellement plus important compte tenu du nombre plus faible d'élèves par classe et des nécessités permanentes de l'évolution de la carte de formation. Par ailleurs, il a expliqué que les adaptations de l'offre de formation aux évolutions démographiques n'étaient pas faciles à mettre en oeuvre, notamment dans les académies qui cumulaient à la fois des pertes démographiques, des difficultés sociales, et un enseignement professionnel important compte tenu du passé économique de certaines régions.