S'agissant du coût des enseignements, M. Michel Thibier a expliqué que l'enseignement technique agricole était un enseignement original qui obtenait de bonnes performances et ce, dans un contexte budgétaire tendu depuis plusieurs années. Soulignant que l'enseignement technique agricole n'était pas tenu, à la différence du ministère de l'éducation nationale, d'accueillir des élèves, il a indiqué que les contraintes budgétaires avaient conduit à refuser des élèves, tout comme à fermer un certain nombre de classes et de sections. Il a toutefois souligné que, compte tenu des bons résultats obtenus par l'enseignement agricole, celui-ci pouvait activement contribuer à l'insertion de certains jeunes.