En réponse, M. Didier Eyssartier a indiqué que ce montant de 27 millions d'euros n'avait pas encore été inscrit au programme « Veille et sécurité sanitaires » de la mission « Sécurité sanitaire » et qu'il fallait tenir compte de l'évolution des besoins qui faisaient l'objet actuellement d'une réévaluation.