S'agissant de l'impact budgétaire d'une crise d'influenza aviaire sur le service public de l'équarrissage, M. Philippe Vinçon a d'abord précisé que les capacités de destruction des usines d'équarrissage étaient suffisantes, puis il a rappelé que le service public de l'équarrissage ne se chargerait que de la destruction d'animaux sauvages de plus de 40 kg, cas assez rare. En outre, Mme Monique Eloit a indiqué que l'élimination des cadavres de volailles abattues n'entrait pas dans le champ du service public de l'équarrissage et serait prise en charge au titre de l'indemnisation des abattages sanitaires.