directeur du service prévention, programmes de santé et gestion des risques, à la direction générale de la santé, a également souligné qu'au cours de l'année 2005 le rythme d'évolution de l'épidémie apparaissait encore maîtrisable localement, mais qu'au mois de janvier 2006, l'explosion de la maladie n'était pas prévisible, avec un pic épidémique de 44.000 nouveaux cas par semaine dans le courant du mois de janvier. Il a estimé qu'au moment du vote de la loi de finances rectificative pour 2005, il n'était pas possible d'imaginer cette évolution de la maladie.