a indiqué qu'il avait jugé utile d'entendre rapidement le point de vue du président de l'ASN après que celle-ci a mis publiquement en cause au début du mois de novembre, par un communiqué commun avec ses homologues britannique et finlandaise, la fiabilité du système de contrôle commande du Réacteur Pressurisé Européen (EPR). Cette annonce, qui a sans doute ses raisons, n'est pas dépourvue de conséquences commerciales et économiques pour AREVA et EDF, alors que l'énergie nucléaire est en développement dans le monde. Il a estimé essentiel, afin de conforter la filière nucléaire française, de rassurer nos concitoyens, qui sont parfois inutilement inquiétés par des publications journalistiques ne disposant pas de toutes les informations adéquates.