après avoir observé que personne ne peut s'opposer à l'ASN sur un sujet aussi important, a souligné que l'opinion publique, qui fonctionne souvent dans le registre de l'émotion, n'est pas forcément réceptive aux explications scientifiques, et qu'une communication publique mal conduite peut causer des dégâts considérables. Il a exprimé la crainte que, même lorsque l'ASN rendra un avis conclusif positif, l'opinion publique ne le prenne pas en considération et reste inquiète. Il s'est déclaré par ailleurs contrarié par le discrédit international qui résulte de cet épisode pour des groupes industriels en passe de conclure des marchés importants en Inde ou en Chine. Il a souhaité savoir s'il n'y aurait pas eu moyen de communiquer autrement, par exemple en convoquant EDF et AREVA de manière plus discrète.