s'est interrogée sur l'état actuel de la recherche russe, estimant qu'une génération de chercheurs avait été sacrifiée depuis 1989. Elle a estimé que l'actuelle stratégie du pouvoir russe était de préserver son influence sur l'espace postsoviétique, comme en témoigne l'exemple de la Transnistrie. Elle a constaté que la « guerre de l'énergie » procure à la Russie le potentiel financier nécessaire à son réarmement.