a indiqué que, tout comme M. Michel Rocard, il est conscient de la situation des finances publiques. Le grand emprunt national ne doit pas être « un emprunt comme les autres ». Dans certains cas, le « retour sur investissement » pourra être mesuré, par exemple si le grand emprunt national finance des dotations en capital remboursables, des prêts participatifs remboursables ou des avances remboursables. Le fil conducteur des travaux de la commission qu'il co-préside a été de chercher à favoriser le passage de la recherche fondamentale à l'innovation industrielle. C'est la raison pour laquelle il n'est pas prévu de financer des travaux d'infrastructures, en particulier ferroviaires.