s'est interrogé sur l'évolution du montant envisagé pour le grand emprunt, faisant état d'estimations autour de 100 milliards d'euros évoquées par la presse. Il a souligné que les mesures nouvelles sur les recettes de l'Etat adoptées depuis 2002 sont de l'ordre de 40 milliards d'euros, et s'est interrogé sur la difficulté à persuader les Français que le grand emprunt national n'obéit à aucune visée électoraliste.