a contesté cette analyse, rappelant que le rapport proposait de définir, pour l'assurance maladie, des crédits limitatifs, et de fusionner la loi de finances et la loi de financement de la sécurité sociale, ce qui revenait selon lui à une fiscalisation des cotisations concernées. Il a déclaré qu'il existait un consensus des experts mondiaux sur l'utilité de réduire le coût du travail pour lutter contre le chômage, que le rapport faisait de nombreuses propositions concernant le financement des PME, et qu'en matière de droit du travail, il proposait un « contrat d'évolution » pour rémunérer les demandeurs d'emploi suivant une formation, une facilitation de la rupture à l'amiable du contrat de travail, et un régime de bonus/malus afin d'encourager les entreprises à engager des jeunes et des chômeurs.