a souhaité apporter quelques éléments de réponse. Arguant du consensus sur le dysfonctionnement de l'université française, et tout en reconnaissant le caractère extrêmement rapide de l'examen du projet de loi, il a insisté sur la nécessité d'une entrée en vigueur des nouvelles dispositions dès la prochaine rentrée universitaire.
Il a indiqué, par ailleurs, que la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche n'avait pas encore déterminé les modalités exactes de l'accroissement de la dotation budgétaire affectée aux universités. Il a fait remarquer que d'ores et déjà avait été décidée une revalorisation des bourses de l'enseignement supérieur.
Enfin, M. Jacques Valade, président, a estimé que les cinq chantiers lancés par la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche devraient permettre de poursuivre les réformes.