a noté que l'impôt de solidarité sur la fortune dû au titre de ces monuments contribuait à aggraver le déficit de leur gestion, et s'est d'ailleurs demandé s'il ne conviendrait pas, au sein de ces bâtiments, de distinguer la part privative et la part ouverte au public, de façon à exonérer celle-ci de l'imposition. Cette exonération serait évidemment subordonnée à l'ouverture effective du monument à la visite.