a rappelé que la mission se proposait de fixer une proportion minimale de crédits pour les monuments privés qui représentent 35 % des monuments classés et 65 % des monuments inscrits.
Il a estimé que l'évaluation de l'effort en faveur des monuments privés devrait prendre en compte à la fois les subventions versées et le coût de la dépense suscitée par les dispositifs fiscaux favorables, mais qu'il conviendrait en tout état de cause de veiller à l'avenir à un meilleur équilibre de l'effort consenti par l'Etat en faveur des monuments privés et des monuments publics.