a assuré que la décision de regroupement du contentieux autour de ces deux pôles allait permettre d'accélérer les procédures. Il a précisé que le pôle de Paris comptait six magistrats du parquet, trois juges d'instruction et quatre assistants spécialisés pour traiter quinze procédures, tandis que le pôle de Marseille, qui est dans une phase de montée en puissance, compte un magistrat spécialisé et s'est vu transmettre une procédure.