est intervenu pour souligner le caractère dangereux des accords de Saint-Malo qui risquaient de diviser l'OTAN. Il a rappelé que, pour les conservateurs britanniques, le point le plus important était l'alliance entre la Grande-Bretagne et les Etats-Unis et l'existence de l'OTAN. Sur ce dernier point, il s'est félicité de l'attitude positive du Président Sarkozy.