Vous vous êtes félicité de l'augmentation du nombre de boursiers mais je ne partage pas votre vision, Monsieur le Ministre. Ma collègue Dominique Gillot vous a interpellé sur la précarité de la vie étudiante. C'est une réalité : d'année en année, de plus en plus d'étudiants sont obligés de travailler pour financer leurs études.
Oui, Monsieur le Ministre, c'est la réalité et ce n'est pas un détail. Je vous demande de prendre ce constat en considération et d'y répondre au-delà des arguments chiffrés et du nombre de logements ! Il s'agit de savoir comment les étudiants doivent vivre. De plus en plus nombreux sont ceux qui sont obligés de travailler pour payer leurs études.