a répondu que l'introduction d'une coupure publicitaire dans les émissions dites de flux, comme les jeux et les divertissements, aurait permis de conforter la stratégie éditoriale du groupe et d'accélérer le rythme des réformes, puisqu'elle aurait entraîné un surcroît de ressources propres compris entre 15 et 20 millions d'euros. Il a déploré que les discussions avec la tutelle n'aient pas abouti sur ce point.
Par ailleurs, il a souligné les conséquences d'un passage de l'heure glissante (par exemple, de 21 h 15 à 22 h 15) à l'heure d'horloge (dans son exemple, de 21 h à 22 h puis de 22 h à 23 h) pour mesurer la durée horaire de publicité. A cet égard, il a relevé les disparités entre l'audiovisuel public et ses concurrents privés s'agissant de la hausse des recettes publicitaires qui en résulterait : 8 à 10 millions d'euros par an pour France Télévisions, 85 millions d'euros pour M6 et 135 millions d'euros pour TF1.