a précisé que la réforme du statut du groupe faisait l'objet d'intenses discussions avec les différents représentants de l'Etat actionnaire afin de garantir l'avenir de France Télévisions.
Considérant que les ressources propres du groupe proviennent non seulement des recettes publicitaires et des recettes de diversification, mais également des économies issues des réformes réalisées en interne, il a estimé que ces dernières pourraient être mises en oeuvre de manière plus efficace si le statut juridique des différentes sociétés composant le groupe France Télévisions était modifié.
Après avoir précisé que l'unification juridique du groupe n'était synonyme ni de fusion des chaînes, ni d'un retour au temps de l'ORTF, M. Patrick de Carolis, président-directeur général de France Télévisions, a toutefois assuré que le maintien de l'organisation juridique actuelle ne ferait pas obstacle à la poursuite des réformes déjà engagées. Il a d'ailleurs annoncé que, dès le début de l'année 2008, la mise en oeuvre de la nouvelle charte d'organisation du groupe permettrait d'employer les différents collaborateurs de manière plus souple et plus efficace.