En réponse à M. François Trucy, président, M. Michel Sergent, rapporteur spécial, a confirmé que, pressé par le temps et lié par son engagement, auprès de la FIFA, de disposer d'un « grand stade » pour la Coupe du monde de football de 1998, l'Etat avait négocié le contrat de concession en « position de faiblesse ».
Puis, répondant à M. François Trucy, président, il a déclaré qu'à ce jour, il semblait que le renouvellement du contrat liant le consortium Stade de France à la Fédération française de football ne devrait pas soulever de grande difficulté, la situation paraissant toutefois plus complexe s'agissant de la Fédération française de rugby.