a estimé que le ministère des affaires étrangères remplissait son rôle en matière de prévention et de gestion des crises, mais que la France était assez largement absente des phases de reconstruction et n'en tirait pas parti sur le plan économique. Il s'agit par conséquent de doter la France d'un organe spécifique qui devra disposer de capacités d'intervention, ce qui supposera des réaffectations de crédit.