a fait part de ses propres interrogations sur cette notion de pilotage stratégique. Il a considéré que si l'opérateur était efficace, il prenait assez naturellement son autonomie dans un processus qui n'était pas propre au ministère des affaires étrangères. Un autre aspect de cette question concerne le pilotage par les postes diplomatiques et le rôle de l'ambassadeur à l'égard de l'opérateur. Le contrat d'objectifs et de moyens constitue une première réponse à la condition d'être resserré dans le temps, de comporter des objectifs précis et de donner lieu à une évaluation.