a précisé que le rôle de la Commission n'était pas de déterminer le budget triennal du ministère et qu'en conséquence elle n'avait pas chiffré ses propositions, au demeurant peu coûteuses. Il a souligné que la stabilité des moyens était l'hypothèse minimale alors que des Etats comme le Royaume-Uni ou l'Allemagne augmentent les moyens de leur ministère des affaires étrangères. La Commission a particulièrement insisté sur le fait que le niveau actuel du budget constituait un étiage au-delà duquel il ne sera pas possible d'aller sans remettre en cause notre ambition européenne et internationale.