Je le ferai très volontiers s'il s'agit de l'inscrire à l'ordre du jour au titre de la commission. Il est toujours difficile d'obtenir un débat de politique étrangère et quand on m'en a proposé un de deux heures trente, j'ai préféré tenir que courir : il n'y a pas de vrai débat de politique étrangère sans le ministre des affaires étrangères. J'ai demandé qu'il ne fasse pas de déclaration initiale mais réponde pendant trente minutes aux interventions. Nous aurons donc deux heures.