A la question de M. Jean Desessard, de savoir si le CIVIS pouvait être considéré comme une réussite, Mme Pascale Schmit a répondu que les éléments livrés par la Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques (DARES) ne permettaient pas pour l'instant de donner une réponse, mais que les cas précis dont elle avait connaissance la rendaient plutôt optimiste. A M. Bernard Seillier, rapporteur, qui se demandait si les jeunes bénéficiaires de l'allocation CIVIS réussissaient mieux que les autres, elle a précisé que la sécurisation financière apportée par l'allocation, d'un montant de 320 euros par mois, avait été favorable au maintien dans le CIVIS de personnes en grande difficulté.