a ensuite souligné le caractère positif de certains éléments fournis par les interlocuteurs de la mission :
- la généralisation de la découverte du monde professionnel par tous les élèves, à partir de la classe de cinquième ;
- la volonté d'assurer la sécurisation sociale des jeunes. Il s'est déclaré à cet égard favorable à l'extension du revenu minimum d'insertion aux jeunes de moins de 25 ans ;
- la reconnaissance de la double fonction citoyenne et professionnelle de l'institution scolaire.
Il a cependant regretté :
- que les systèmes canadien et finlandais de formation n'aient pas été analysés plus longuement ;
- qu'aucun élément expliquant la faible réactivité de l'enseignement professionnel à l'évolution de la structure de l'emploi en France n'ait été fourni ;
- que la question de la faible attractivité de certains métiers n'ait pas été abordée ;
- et enfin, citant le récent ouvrage Chagrin d'école, de Daniel Pennac, que la situation des élèves ne trouvant pas leur place dans le système scolaire n'ait pas été davantage développée.