a répondu que l'INRS n'avait pas mené d'études sur ce sujet mais qu'il s'appuyait sur les expertises d'organismes extérieurs. En 1998, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Bureau international du travail (BIT) ont reconnu le caractère cancérigène du chrysotile. Auparavant, l'OMS avait recommandé l'abandon de l'amiante et son remplacement par des produits de substitution et avait affirmé l'existence d'un risque de cancer, même en cas d'exposition à de très faibles quantités d'amiante.