a estimé qu'il était en effet difficile de permettre à un Etat membre d'entraver la volonté des 26 autres de mettre en place des modes de fonctionnement plus adaptés. Il s'est interrogé sur la vocation à demeurer dans l'Union d'Etats qui s'opposent quasi systématiquement à tout développement des politiques communes. S'agissant de la défense, il a cité la préférence du Royaume-Uni, premier pays en Europe par ses capacités en la matière, pour les coopérations bilatérales par rapport aux structures multilatérales mises en place par l'Union.