a souhaité distinguer, dans l'analyse économique de la crise, la sphère financière de la sphère réelle. Il a jugé que l'enseignement de l'économie devait tirer les conséquences de la crise actuelle, qu'il a qualifiée de « crise sociale ». Il a pris ses distances avec les positions du rapporteur général quant à la prévision du taux de croissance fixée en loi de finances, en considérant qu'il s'agissait, non d'un affichage, mais d'un repère essentiel autour duquel un Gouvernement appelait à se mobiliser. Il a souligné que la capacité d'investissement des collectivités territoriales constituerait un facteur incontournable pour sortir de la crise. Enfin il a remarqué, en particulier pour les hôpitaux, que la pratique des partenariats public-privé supposait des structures de contrôle efficaces.