a souhaité la révision de la prévision de croissance attachée au projet de loi de finances pour 2009, en tenant compte des dernières hypothèses de travail de la Commission européenne. Elle a rappelé que l'horizon de sortie de la crise n'était évidemment pas connu, mais a indiqué craindre que la France n'en sorte affaiblie, car ses fondamentaux économiques et budgétaires ne sont pas bons. Elle a souhaité que le rapporteur général mette l'accent, non seulement sur la question de la dépense, mais encore sur celle des recettes. A défaut, elle a craint que le débat ne soit « hémiplégique ». Elle a enfin demandé quelles étaient les prévisions de recettes non fiscales pour 2009.