a considéré que le débat sur ce projet de loi de programmation était essentiel en raison de la prise de conscience qu'il permettait. Il a souligné l'impact, sur la situation actuelle des finances publiques, des déficits structurels passés. Il a relevé l'étendue de l'offre de prestations publiques aujourd'hui assumée par les collectivités territoriales et la sécurité sociale, relevant que l'Etat, au-delà de ses fonctions régaliennes, n'offrait plus aujourd'hui qu'une seule grande prestation, celle de l'éducation.