a précisé que le choix des programmes s'effectue en relation avec les industriels. Il a estimé que la France et l'Allemagne parviennent à concilier de manière satisfaisante leurs intérêts, comme en témoigne le financement des futurs Météosat de troisième génération (MTG), finalement fixé à part égale entre les deux pays.
S'agissant de la contribution du CNES à l'ASE, le montant a été établi de façon à ne pas recréer une nouvelle dette en garantissant la soutenabilité des ressources. En outre, le financement de l'ASE devrait être mieux assuré puisque, dans le prochain contrat pluriannuel du CNES, seront intégrés et provisionnés les engagements des conférences ministérielles de l'ASE, ce qui constitue un réel progrès méthodologique. Enfin, il convient de noter que le leadership de la France n'est pas discutable au vu du niveau de sa participation au sein de l'agence.