a présenté le CPA comme un comité d'information et de dialogue, largement ouvert à l'ensemble des partenaires concernés (entreprises, syndicats, administrations publiques et experts scientifiques), tout en rappelant que Saint-Gobain avait contribué au financement et à la diffusion d'un certain nombre de documents visant à informer sur les dangers de l'amiante et sur les mesures à mettre en oeuvre pour protéger les salariés.
Il a estimé que le CPA avait correctement joué son rôle et qu'il résultait de ses comptes rendus qu'un certain nombre de débats avaient été consacrés aux effets pathogènes de l'inhalation des fibres d'amiante, en fonction de leurs caractéristiques.
Il a ainsi considéré que les industriels ne pouvaient être accusés de « savoir » ou d'avoir sciemment dissimulé des informations, rappelant en outre que les entreprises les plus importantes utilisant l'amiante (SNCF, DCN...) appartenaient au secteur public.