a rappelé que la directive européenne REACH, qui s'inspire de cette procédure, avait été bloquée à Bruxelles par le lobby des industries chimiques.
Evoquant les procédures en cours, elle s'est interrogée sur les motifs pour lesquels la faute inexcusable du groupe a été reconnue.
S'agissant du calorifugeage, elle a souhaité obtenir des précisions sur les produits de substitution aujourd'hui utilisés et a demandé si des recherches étaient en cours en ce domaine.
Elle s'est enfin interrogée sur les conditions de cession des mines d'amiante ayant appartenu à Saint-Gobain.