a jugé que la loi du 10 décembre 2003 avait renforcé la protection des demandeurs d'asile. Il a salué la grande qualité du travail des officiers de l'OFPRA, ayant pu lui-même assister à certains entretiens en sa qualité de rapporteur de la commission d'enquête du Sénat sur l'immigration clandestine.
Il a ensuite voulu avoir la confirmation que les budgets de l'OFPRA seraient maintenus à des niveaux suffisants, seuls gages d'une réforme juste et bonne du droit d'asile sur la durée.