a rappelé avoir déjà abordé la question des suicides à France Télécom dans une question orale, posée en séance publique le 17 septembre dernier, et a demandé que la commission mène un travail de fond sur le sujet de la santé au travail. Il a considéré que la volonté de transformer France Télécom, dans un temps très court, en une entreprise dégageant le maximum de profits est en lien avec la souffrance des salariés, dont certains ont commis l'irréparable. Dans la fonction publique, les suppressions de poste conduiront aux mêmes situations dramatiques. L'individualisation de la gestion des salariés, auxquels sont parfois imposés des horaires incompatibles avec la vie familiale, pose également un problème. Il est enfin revenu sur la note de service évoquée par Annie David et a demandé une réponse à ce sujet.