En réponse, Mme Dominique Versini a indiqué ignorer les intentions du Gouvernement quant au périmètre de compétence du futur Défenseur des droits, mais a jugé impératif qu'en tout état de cause cette création préserve l'indépendance, la spécificité, la visibilité et la souplesse de fonctionnement du Défenseur des enfants. Elle a ajouté que l'hypothétique délégué du Défenseur des droits devrait embrasser des compétences si étendues qu'il devrait nécessairement exercer ses fonctions à temps plein.