a vivement déploré les dégradations commises par les sous-traitants des opérateurs sur les châteaux d'eau sur lesquels étaient implantées des antennes-relais. Il a souligné que ces incidents étaient d'autant plus graves que les châteaux d'eau étaient soumis à des contrôles de sécurité très stricts. Il a également regretté que l'impact visuel des antennes-relais installées sur ces châteaux d'eau ne soit pas pris en compte, alors même que cet élément l'avait été lors de l'édification de l'ouvrage. Il a enfin estimé que la cartographie des zones blanches ne reflétait pas la réalité, certaines zones étant considérées comme couvertes bien que les communications ne fussent possibles que depuis des points élevés.