évoquant un stage accompli il y a quelques mois chez GDF, a confirmé que ce projet de fusion constituait un véritable projet industriel. A propos du niveau très élevé de la dette publique, il a jugé impossible de le faire diminuer sans un taux de croissance élevé du PIB, hypothèse qu'il a considérée comme totalement irréaliste. Il a souligné la nécessité absolue d'améliorer la productivité de la sphère publique. Puis il a voulu connaître la position du Gouvernement sur les conséquences de la politique d'émission des droits à polluer, notamment pour les économies des pays en voie de développement.
Relevant enfin le retard français en matière de recherche sur toutes les formes d'énergie renouvelable, il a souhaité que le Gouvernement prenne mieux en compte les objectifs de développement durable en matière de recherche et d'innovation.