s'est demandé dans quelle mesure une autorité de régulation pouvait garantir le pluralisme quand les conditions du marché ne le permettent plus. Il a stigmatisé, notamment, un excès de concentration dans le secteur et le rôle joué par les commandes publiques dans les résultats financiers de certains groupes audiovisuels.
S'agissant de la campagne électorale, il a souligné la présence de plus en plus fréquente des sujets politiques dans les émissions de divertissement. Il a affirmé que ce type d'émission, compte tenu de leur impact sur le public, pouvait provoquer des déséquilibres importants entre les candidats.
Il s'est interrogé, enfin, sur les moyens de réguler le temps de parole du président de la République.