s'est quant à lui interrogé sur le risque de concurrence entre les fondations évoquées par le présent projet de loi et celles existant déjà, et a souhaité que les personnes extérieures à l'université présentes au conseil d'administration puissent participer à l'élection du président. Sur les articles 15 et 23, il a fait part de son voeu que les universités de technologies puissent bénéficier de la gestion d'un budget global. Concernant l'article 16, M. Philippe Adnot, rapporteur pour avis, a souhaité savoir si la gestion des primes serait bien applicable aux filiales des universités, notamment aux cellules de valorisation de la recherche.