A M. Charles Pasqua, qui s'interrogeait sur les conditions du décès de M. Raphaël Clin, le général Guy Parayre a répondu que le décès avait été déclaré à l'hôpital, mais qu'il était intervenu très vite après l'accident, étant donné la violence du choc. Il a souligné que les secours étaient intervenus rapidement et a relevé le professionnalisme des sapeurs-pompiers locaux qui ont pris en compte les deux blessés, le gendarme et le motocycliste.