Sur la question du livret A, je relève que le Président de la République a reconnu, dans son discours de Saint-Nazaire, le bien fondé de l'amendement que notre commission a imposé, contre l'avis du Gouvernement, dans la loi de régulation bancaire et financière et qui permet aujourd'hui de dégager trois milliards d'euros par an en faveur du financement des PME à partir de cette ressource.