Le Gouvernement a révisé sa prévision de déficit de 8,5 % à 8,2 % en janvier, puis de 8,2 % à 8 % en avril ; et maintenant de 8 % à 7,7 %. Tous les éléments montrent que nous tiendrons cette prévision : c'est clair, c'est net, c'est définitif !
Les premières adjudications se déroulent bien. Nous sommes à l'unisson d'un mouvement international d'évolution des taux qui concerne aussi bien les États-Unis que l'Allemagne. Pour le reste, compte tenu des indicateurs tels que l'évolution du coût de la vie et de l'activité économique, il n'y a aucune raison de corriger les prévisions. Nous aurons l'occasion d'en reparler en avril, un nouveau rendez-vous qui participe du renforcement des pouvoirs du Parlement. De fait, il n'y aura plus ce décalage, peu acceptable pour des personnes qui ont une culture parlementaire comme moi, entre le niveau d'information du Gouvernement et du Parlement.