reconnaissant qu'un train de Véolia avait connu un incident de sécurité très sérieux, a jugé que la sécurité ferroviaire constituait un atout considérable du chemin de fer et ce, d'autant plus que le système demandait un haut niveau de technologie et de savoir-faire pour y parvenir. Il a précisé qu'il n'était pas un partisan de la concurrence par idéologie, mais simplement parce qu'il constatait qu'elle permettait de développer l'activité ferroviaire, sous réserve que celle-ci s'inscrive dans un cadre juridique satisfaisant et que la sécurité soit en toutes circonstances garantie. C'est ainsi que la moitié de l'activité des nouveaux opérateurs du fret ferroviaire avait été gagnée sur la route.