a déclaré partager la préoccupation de M. Roland Ries et a reconnu que le développement du fer en France était semé d'embuches. Il faut simplifier la SNCF afin que ses modes de fonctionnement coïncident mieux avec ceux des élus porteurs de projets. Il a également jugé que la SNCF souffrait d'une centralisation excessive préjudiciable à la réalisation des projets. Il a enfin conclu que son rôle de président de la SNCF était de passer le temps nécessaire avec les élus pour faire aboutir les projets ferroviaires et qu'il se tenait donc à leur disposition.