Relevant qu'un certain nombre de documents comme les PLU ou les plans de déplacement urbain se mettaient en place avant les SCOT, Mme Mireille Schurch s'est interrogée sur la mise en cohérence de ces documents dans le cas où le SCOT était adopté après. Elle a indiqué que le PLU intercommunal était ressenti comme dangereux par les communes, désireuses de conserver leurs compétences, et précisé que celles-ci préféraient avoir recours aux services de l'Etat, qui présentent des garanties de neutralité. Elle a souhaité en conséquence que celui-ci continue à accompagner les projets d'urbanisme des communes.