s'est tout d'abord faite l'écho des préoccupations exprimées par les salariés des Houillères, qui ont fait part de leurs inquiétudes quant aux montants inscrits dans la mission pour financer les prestations sociales des mineurs. S'agissant de la réforme du crédit d'impôt pour les travaux d'économies d'énergie, elle s'est demandé si son extension aux logements locatifs, y compris limitée à trois logements par contribuable, ne serait pas de nature à opérer une réorientation de cette aide publique au détriment des propriétaires occupants et si l'éligibilité de certaines dépenses de main d'oeuvre ne s'effectuait pas au détriment de certains équipements et donc de l'industrie qui les produit.