Ne pensez-vous pas que les consommateurs sont un peu désorientés devant les étalages des grandes surfaces, où ils voient se multiplier les labels ? Ne cherche-t-on pas, en France, à « laver plus blanc que blanc », au risque de pénaliser l'économie française ?
Votre mission est difficile. La France reste très timide sur les expérimentations d'OGM. Reste que les élus que nous sommes sont tous soucieux de la qualité de nos eaux. Choisir entre OGM et pesticides, est-ce devoir décider entre la peste et le choléra, ou y a-t-il un choix moins mauvais que l'autre ?
Dans la société de consommation mondialisée qui est la nôtre, une cohérence dans la transparence ne serait-elle pas bienvenue ?