a considéré que le débat qui s'est engagé sur le communiqué de presse incriminé porte davantage sur sa forme que sur son contenu. Si sa reprise par les médias a pu donner l'impression que la commission des affaires sociales est directement à l'origine de ce document, tel n'est évidemment pas le cas, les auteurs du communiqué étant intervenus nommément, en leurs qualités respectives de président de la commission et de président de la Mecss.